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CE QUE
VOUS SAVEZ
PEUT-ETRE…

Je suis né le 6 Octobre 1986, je suis marié et père d’un petit garçon, j’habite à Saint-Vallier où je suis élu depuis 2008. Une ville avec une forte tradition industrielle et une vraie culture ouvrière, avec un club sportif de haut niveau, le Saint-Vallier-Basket-Drôme, fière d’elle-même, rebelle et festive. Une âme assez proche de celle de Romans-sur-Isère.

Je suis diplômé de Sciences politiques. J’ai été pendant 7 ans le Chef de Cabinet de Didier Guillaume au Conseil Départemental de la Drôme. Il m’a beaucoup appris. J’ai aimé travailler à ses côtés.

Je suis Président de Porte de DrômArdèche, qui compte 34 communes et 48 000 habitants depuis 2014.

Je suis Conseiller départemental du canton de Saint-Vallier depuis 2015, avec Patricia Boidin, élue d’Anneyron, et Coprésident du groupe d’opposition à la majorité de Marie-Pierre Mouton.

Je suis maire de Saint-Vallier depuis 2020.

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       “PROXIMITÉ, EXEMPLARITÉ, ACTION”

CE QUE VOUS NE SAVEZ
PEUT-ETRE PAS…

J’ai grandi à Guilherand-Granges, en Ardèche. Mes parents nous ont élevés, mon frère et moi, dans le respect de l’autre, l’attachement à l’action publique et aux valeurs de gauche, le travail, la solidarité, la simplicité.

J’ai été étudiant à Science Po Lyon pour me former à l’action publique au service de l’intérêt général. J’y ai acquis la conviction qu’il ne faut jamais abandonner la promotion de ses valeurs et toujours favoriser le débat citoyen. J’ai rencontré des gens passionnés mais je n’ai jamais été un très bon élève.

Le sport est essentiel pour moi. C’est la solidarité, l’esprit d’équipe, le dépassement de soi et la volonté.

Je suis ceinture marron de judo et, comme beaucoup de jeunes de ma génération “France 98”, mon rêve de gosse était sans doute de devenir footballeur. J’ai également joué (à un très modeste niveau…) au basket sous les couleurs du SVBD. Aujourd’hui, je me contente de la course à pieds en amateur, parfois avec des amis, comme lors de deux dernières éditions des 10 km de Romans-sur-Isère. Cette passion pour le sport, j’ai voulu la transmettre en aidant à créer le centre de formation du Saint-Vallier-Basket-Drôme, que j’ai présidé à son lancement durant 2 ans et qui est aujourd’hui reconnu nationalement. Pour que les jeunes se perfectionnent, apprennent la solidarité, l’esprit d’équipe, le dépassement de soi, la volonté et surtout pour qu’ils pensent à leurs études.

Je suis persuadé que la politique a besoin de renouvellement, d’être faite plus simplement, sur la forme, comme sur le fond.

Je me suis engagé en politique à 15 ans, au lendemain du 21 avril 2002, quand le Front national accédait au 2nd tour de l’élection présidentielle. J’étais encore adolescent et ce fut un vrai choc pour moi. J’ai alors décidé de rejoindre le Mouvement des jeunes socialistes. J’y ai été le responsable d’Érasme, le courant réformiste et européen et je me suis engagé dès 2003 auprès de François Hollande . Une amitié politique et personnelle qui me conduira à devenir responsable de la mobilisation des jeunes pour sa campagne de 2012. Malgré ses difficultés, je l’ai toujours soutenu, jusqu’au bout, car je crois en la fidélité en amitié et en la loyauté politique. Je le représente au sein de la direction nationale du Parti Socialiste et je ne m’en suis jamais caché. C’est le Parti de Jean Jaurès, Léon Blum, François Mitterrand et de Lionel Jospin. J’en suis fier. A cause de cet engagement politique, mes adversaires me qualifient parfois d’apparatchik. Je ne sais pas vraiment ce que ce mot veut dire. Pour ma part, j’aimerais que les jeunes s’engagent encore plus pour la chose publique, promeuvent leurs valeurs, agissent pour les autres, car je suis persuadé que la politique a besoin de renouvellement, d’être faite plus simplement, sur la forme, comme sur le fond. La démocratie est notre bien collectif le plus précieux. Nous avons de la chance d’être Français.

Je crois au travail et pas en la rente, lutter contre cette reproduction sociale est mon premier combat.

Le travail, j’y ai goûté très tôt par de multiples petits boulots que j’ai enchainés pour aider mes parents à financer mes études : vendanges, cueillette de fruits, service et ménage dans une maison de retraite… Une façon aussi de gagner en autonomie.

Entre 2008 et 2014, alors que je travaillais au Département de la Drôme et que j’étais dans le même temps conseiller municipal délégué à Saint-Vallier, j’ai décidé d’exercer mon mandat bénévolement et de ne pas toucher mes indemnités d’élus. Quand je suis devenu Président de Porte de DrômArdèche, j’ai quitté mon travail pour me consacrer à 100% à mon mandat d’élu, au service de mes concitoyens et des 34 communes de mon territoire, car j’ai la conviction qu’on ne peut pas exercer pleinement le mandat confié par les citoyens en cumulant cette fonction avec un autre métier. La politique, ce n’est pas un complément de salaire.

Je me suis présenté aux élections législatives de 2017, dans la 4ème circonscription de la Drôme. Un territoire vaste de 71 communes de Saint-Rambert d’Albon jusqu’à Romans en passant par la Galaure, l’Herbasse et les Monts du Matin. Cette campagne fut intense, autant sur le plan professionnel que sur le plan humain. J’y ai rencontré des personnes exceptionnelles qui m’ont permis d’atteindre le score de 17.23%, score conséquent sur le plan national pour un élu socialiste.

Je pense que la solidarité est un pilier de notre République, que son modèle social n’est pas un boulet financier mais le socle de notre identité commune. Notre modèle social est sacré. Si je ne devais garder qu’une révolte, c’est une injustice : que tout le monde n’ait pas les moyens de de révéler son talent et de réussir, pas seulement en accumulant de la richesse, mais en menant à bien ses projets, en réalisant ses envies, ses rêves. Oui, je trouve la reproduction des inégalités sociales de générations en générations injuste. Parce que je crois au travail et pas en la rente, lutter contre cette reproduction est mon premier combat.

Je crois enfin en la volonté et en l’action publique. Pour avancer, il faut rassembler. Les postures politiciennes sont néfastes. C’est grâce au rassemblement de tous les élus qu’en Porte de DrômArdèche, nous avons pu en un an et demi sortir des cartons un dossier promis aux habitants depuis quarante ans : la sortie d’autoroute. Il y en aura même deux.

C’est parce que nous avons refusé de nous résigner face au chômage que nous avons créé Objectif Emploi. Ce dispositif unique en France est très efficace et le taux de chômage baisse continuellement, dans nos 34 communes, depuis sa création.

Faire, ensemble, avec les citoyens, en appeler au bon sens, mettre en œuvre ce qui nous rassemble est tout à fait possible.