Qui suis-je ?

Je suis né le 6 octobre 1986, je suis marié et père d’un petit garçon, avec qui j’habite à Saint-Vallier, dans la Drôme. J’ai grandi à Guilherand-Granges, en Ardèche.

Mes parents nous ont élevés, mon frère et moi, dans le respect de l’autre, l’attachement à l’action publique et aux valeurs de gauche, le travail, la solidarité, la simplicité.

C’est au lycée, le lendemain du 21 avril 2002, que j’organise ma première manifestation contre l’extrême droite, révolté par l’accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle. C’est de là que date mon engagement, qui ne s’arrêtera pas.

Mes engagements

J’ai porté la voix de la jeunesse socialiste pour faire battre Sarkozy en 2012, puis j’ai été élu dans mon département de la Drôme. Mon combat, c’est notamment celui que j’ai porté pour Saint-Vallier, commune populaire et de tradition industrielle de 4300 habitants, dont je suis devenu président de la communauté de communes en 2015 puis maire en 2020. Je reste aujourd’hui très attaché au Canton de Saint-Vallier, dont je garde les fonctions de conseiller départemental.

Depuis décembre 2022, j’ai la fierté d’occuper la fonction de Secrétaire général du Parti socialiste. Aux côtés d’Olivier Faure, je porte le combat d’une gauche forte et unie, capable d’incarner l’alternance et de vaincre l’extrême droite.

Le 9 juin 2024, j’ai été élu député européen pour la 10ème législature du Parlement européen. Au cours des 5 prochaines années, je dédierai mon mandat à proposer des solutions européennes concrètes aux enjeux du quotidien dans les Commissions Santé, Marché Intérieur et Droit des Consommateurs et Environnement.

"Je continue d'œuvrer fermement à la reconstitution d’une gauche populaire et rassemblée pour faire face à l’extrême-droite. Nous seuls sommes en mesure d’améliorer concrètement la vie des gens."

Mes priorités au Parlement européen

Comme beaucoup de Français, j’ai grandi dans la France périurbaine et j’ai assisté à la disparition progressive des services publics et de la présence de l’État dans nos territoires. Je porterai particulièrement la problématique des déserts médicaux, qui est une vraie souffrance pour des millions de gens. L’Union européenne a le pouvoir de mieux appuyer les efforts en matière d’offre de santé dans les territoires faiblement dotés.

Je souhaite m’engager également fortement pour mieux redistribuer les richesses et permettre aux citoyens comme aux entreprises et aux agriculteurs d’être mieux protégés face à la concurrence débridée de la Chine et des États-Unis. Je suis convaincu que l’Europe doit retrouver son autonomie stratégique et sa souveraineté industrielle, agricole, sanitaire…