👉 Le 12 juin votez Pierre Jouvet, un député qui défendra l’environnement et soutiendra la planification écologique !
Devoir vivre et travailler par une chaleur extrême est aujourd’hui une réalité en Inde, au Pakistan, où il a fait plus de 50 degrés à l’ombre.
Plus proche de nous, nous le ressentons aussi : ce mois de mai 2022 a été le plus chaud jamais enregistré par Météo-France. Les températures ont été supérieures de plus de 3 degrés aux normales saisonnières, de nombreux records ont été battus, notamment dans la Drôme.
Cette chaleur précoce et prolongée provoque une situation extrêmement préoccupante, que la pluie tombée en milieu de semaine n’a rien changé : le débit des rivières continue de baisser, des restrictions d’utilisation d’eau ont été mises en place par la Préfecture.
Dans notre nord-Drôme, la rivière de la Galaure est à un niveau proche du mois d’août et le secteur de la Valloire est en état d’« alerte ». Quel est le risque demain ? Ne plus pouvoir ouvrir le robinet et profiter de l’eau comme nous le faisons aujourd’hui.
Sécheresse, mais aussi grêle, gel, inondations, chacun peut le constater les phénomènes météorologiques extrêmes tendent à se reproduire de plus en plus souvent.
Avec Karine Guilleminot nous avons la conviction profonde que nous devons redéfinir notre modèle de société si nous voulons transmettre un environnement préservé.
Nous défendons plusieurs propositions concrètes comme :
👉 Inscrire dans la constitution la règle verte (ne pas prélever sur la nature davantage que ce qu’elle peut reconstituer)
👉 Passer à 100% d’énergies renouvelables et rénover 700 000 logements par an
👉 Favoriser l’installation des jeunes agriculteurs, l’agroécologie, le bio et les circuits courts
Cela s’inscrit dans une planification écologique, c’est à dire, se donner des objectifs chiffrés et les atteindre en travaillant à tous les niveaux de notre pays, dans tous les secteurs : énergie, finance, aménagement du territoire, agriculture…
Mais le temps imparti nous est compté si nous souhaitons mettre en œuvre les mesures nécessaires. Le dernier rapport du GIEC, dont je regrette la faible médiatisation, est très clair : il nous reste trois ans, soit un peu plus de 1000 jours pour contrer le réchauffement climatique et garder une planète « vivable ». Sans quoi la situation sera irréversible.
Dès le 12 juin vous pouvez agir en ce sens !